La filiation adoptive ne résulte pas des liens du sang mais d’une décision rendue par le tribunal de grande instance. Le droit français connaît deux types d’adoption : d’une part l’adoption plénière, modèle de référence, qui rompt les liens de l’adopté avec sa famille biologique et, d’autre part, l’adoption simple qui emporte des effets plus limités.
Lorsqu’une procédure d’adoption est ouverte, le consentement du représentant légal de l’adopté doit préalablement être recueilli. Il en est ainsi si une filiation est établie à l’égard du père et/ou de la mère de l’enfant, ou s’il existe un conseil de famille ou un tuteur. Ce consentement devra être donné par acte authentique, devant notaire.
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